Dans ce nouvel exemple, le storyboarder procède comme précédemment. Il ajoute des niveaux de gris, en pensant toujours à la direction de la lumière pour rester cohérent dans l’image. Il a toujours en tête les principes de base de dessin que, biensûr il doit respecter. Il le fait spontanément car il a développer des réflexes, des raccourcis avec l’expérience. Chaque storyboarder peut avoir ses propres astuces. Encore une fois, le storyboarder choisit ce qu’il souhaite rendre flou. Par exemple le premier plan sera moins flou que le second qui, lui-même sera moins flou que l’arrière plan. Il utilise toujours le flou gaussien et choisit l’intensité.