Dans ce tutoriel en ligne sur l’atelier VFX, Romain Ferchat vous présente son interview. Cette vidéo a pour objectif de partager les requêtes de l’intégration des éléments 3D dans une vidéo. Dans ce cadre, il est surtout question de la modélisation, de la mise en lumière et de la texturation des éléments tridimensionnels sans oublier le rendu. Mis à part cela, la mise en œuvre d’éléments 3D nécessite la maîtrise des techniques de compositing. Par la suite, les capacités en intégration sont mises en œuvre pour finaliser le travail. Pour aboutir à cela, les outils de départ peuvent être présentés de manière différente. Dans certains cas, vous avez la possibilité de disposer d’animations toutes faites avec les shaders et les textures correspondants. Ainsi, il ne reste plus qu’à travailler l’éclairage et à faire le compositing jusqu’au colorgrade. D’autre part, il est possible de faire du diset plan. Dans ce cadre, vous êtes chargé du compositing. En plus de cela, vous démontez les trackers disposés sur les sets et vous rajoutez des éléments FX pour combler le décor. Pour y parvenir, vous commencez par un décor vide. Par la suite, vous modélisez des personnages en basse définition et vous les animez de manière distinctive. Vous les placez ensuite dans le décor et vous ajoutez des éléments supplémentaires dans le décor pour marquer le contexte. Pour finaliser, vous intégrez cette création dans la vidéo pour faire un rendu. Par ailleurs, vous pouvez utiliser les techniques de peinture digitale sur plusieurs calques. Ce procédé vous permet d’accentuer la simulation de profondeur. Dans ce cas, vous travaillez aussi sur la position du set et d’enlever les trackers. En complément de cela, vous préconisez les techniques de projection caméra. L’intégration d’éléments 3D est surtout utilisée dans le domaine de la publicité ou des jeux vidéo. Elle nécessite la maîtrise de plusieurs types de logiciels de traitement d’images et d’animation 3D. A cette issue, vous aboutissez à une qualité à la hauteur des longs métrages en faveur d’un budget moindre. Pour conclure, l’intégration 3D est un domaine complexe mais exploitable.